Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 11:52
Je me suis couchée finalement un peu plus tard que prévu. J’ai commencé à parler avec Olivier et j’ai dû lui raconter mon week end ave Philippe. Il me conseille de rester prudente quand même, il s’inquiète toujours pour moi. Je m’inquiète également pour eux, cela fait plusieurs fois qu’il fait des réflexions quand à Nadège et le fait qu’elle soit une vraie marmotte et qu’elle ne veuille plus sortir. Elle me dit que tout va bien, mais lui s’en plaint. Je ne sais pas trop comment les aider sur ce coup, mardi, j’en saurais peut être d’avantage.
Je dors mal, c’est souvent comme cela chez ma mère et me lève avec un léger mal de tête vers 11h30. J’ai reçu un sms d’Alex alors que je venais de me coucher mais je n’avais pas envie de parler avec lui, je le cherche sur MSN mais il n’est pas là, tant pis.
Je me prépare et rejoins Morgane et Romain et nous partons en direction de Condrieu pour voir la grand-mère. Génial.
L’hôpital est comme je l’imaginais, à l’image de la ville, sombre et triste. Les personnes âgées… Voyons, les petites mamies sont avachies sur leurs fauteuils, il leur manque comme un tuteur pour les faire tenir droites. Le papy qui regarde la télé à 15 cm du poste… Je n’ai pas de souci avec les hôpitaux en général mais le service gériatrie m’embête un peu en fait. La vieillesse m’effraie elle ? Possible. Je ne me suis jamais projetée si loin, déjà, je n’ai jamais imaginé ma vie au delà de mes 30 ans, comme si je savais qu’elle s’arrête à cet age là. Age qui approche, je suis dans la merde… Une mamie, moi ? Faudrait déjà devenir adulte, puis amoureuse, femme et maman avant de devenir cela. Bon adulte, cela dépend de qui je fréquente cela peut se faire assez facilement je pense, c’est très volontairement que j’ai effectué cette régression. Amoureuse et femme, cela est lié. J’en ai envie, à nouveau, de tomber amoureuse, de fermer les yeux un instant et de prendre mon élan, sauter et ouvrir grand les yeux. Donc la plus grosse difficulté est à ce moment là de trouver une personne à aimer et qui m’aimerait en retour. Hum…
Nous restons une bonne heure et demi, il n’y a pas grand-chose à en dire, cela me fait quand même de la peine de la voir ainsi mais mes blindages font pour une fois leur travail avec efficacité et l’indifférence domine.
Nous partons un peu avant 17 heures et j’appelle Aurélien pour lui dire que j’ai envie de gaufre, qu’il faut qu’il prépare la pâte, mais que je me chargerai de les faire cuire. Morgane et Romain me déposent à St Vallier et c’est finalement Chantal qui est en train de me préparer la pâte. Elle a oublié la levure, je ne m’en aperçois qu’après la cuisson des deux premières fournées ! Francis arrive et il me dit qu’il a du Nutella, nous allons enfin avoir des gaufres dignes de ce nom. On s’empiffre, soyons franc, mais j’en avais vraiment envie et cela fait du bien. Aurélien part ramener Amandine et j’attaque une partie de crapette avec tatie. Aurélien nous rejoint et de toute évidence j’ai bien de la chance aux jeux. Pas de nouvelles de Philippe depuis vendredi soir, je croise les doigts pour que le proverbe soit faux.
On va finalement tous les 4 manger au restaurant, Red House, au nord de St Vallier. Un bâtiment avec un énorme potentiel, idéal pour un pub ou une pré-boite, mais là, c’est un petit restaurant. La cuisine est plus que moyenne, le service laisse à désirer, ils ne marcheront pas, c’est dommage pour eux.
Nous rentrons et reprenons la partie là où nous en étions. Je gagne encore. Et déprime d’avantage.
Pourquoi il ne m’appelle pas ? Je ne lui manque pas ? Je n’appellerai pas moi, enfin pas avant mardi soir, ou mercredi. Mais cela me fait râler si ce n’est pas lui qui appelle. Dois-je lui demander s’il veut toujours que je vienne à Paris ? Cela fait quand même excessif et exigeant, mais bon, il est pas cool de son côté aussi. On va s’occuper l’esprit et éviter de trop y penser et d’être triste. Je me suis encore faite avoir ? Mon besoin d’amour et d’affection m’aurait une fois de plus fait avaler n’importe quoi ? Pourtant, j’ai pas rêvé, il est gentil et tout et tout… Ou alors, ce qui m’effraie peut être le plus, il est bien ce que je pense qu’il est, mais c’est moi qui ne suis pas à la hauteur et qui fait qu’il n’a pas envie de s’approcher, de s’accrocher. Mais là, ce ne sont que suppositions et expectatives, cela ne m’avance à rien.
Par Danaé
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Samedi 11 avril 6 11 /04 /Avr 22:16
J’ai fait ce que j’avais prévu finalement. J’étais en train de parler à Ren quand Claire m’a dit qu’elle décollait, Ren était en train de me dire qu’il m’adorait et que Philippe avait bien de la chance. En espérant qu’il le sache… Mouais…
Nous bougeons vers le Bodhran où nous retrouvons Lionel et Frikria (aucune idée de l’écriture). J’ai Aurélien en ligne et on se met d’accord pour bouger dimanche soir. Lola est passée chez elle pour se changer, ils sont tous motivés pour bouger, sauf moi. Je suis fatiguée et cela m’agace de savoir que tout le monde va penser que c’est à cause de Salim que je ne sors pas. Dans tous les cas, Lionel m’a demandé de ne rien faire tant que lui n’avait pas parlé à Salim.
On discute bien, je fais deux rencontres (je suis naze là, désolée pour les noms). Comme nous sommes arrivé tard, il est déjà tard et tout le monde bouge enfin. Je les laisse et rejoins Fabrice et Flo au Laser Game. C’est une soirée bien sympathique, les vannes fusent avec Fab et du coup, Flo qui a le moins de répartie ramasse à chaque fois. On tente un Trivial Poursuit, mais c’est trop dur, donc on se fait un Pictionary. Plus amusant, je gagne même du coup. Je rentre chez moi, il est presque 4 heures.
Je m’aperçois qu’il y a des messages suite à mon « affaire ». J’ai Lionel au téléphone qui me dit qu’il lui a parlé et dit qu’il m’avait blessé. Je n’aime pas trop, car je n’ai pas vraiment été blessée au sens strict, mais bon, je laisse courir. Il est vrai qu’en tout cas Salim est très très limité.
Je vais me coucher et suis réveillée par les voisins, une fois de plus. Les gamins jouent dans le couloir et sonnent même. Jusqu’à ce que le père arrive et là, du coup, calme plat. Sauf que je suis bien réveillée maintenant.
Je me traîne, passe vite fait sur l’ordi et commence à me préparer Je n’ai pas forcement le moral, ce qui est récurant quand je suis fatiguée ou malade. Et pas de nouvelles de Philippe. Sur l’autre version d’amis à vendre, la personne qui l’a acheté lui a mit un mot du genre « Phil, appelle Mimi, elle est célibataire ». Cool… Je ne suis pas jalouse, je ne suis pas inquiète, je respire…
En chemin, je téléphone à Geoffroy et lui propose d’aller boire un verre, il me dit ok et me tient au jus.
Je décolle enfin et croise deux fois les flics sur l’autoroute. Je fais un arrêt à Toutstock, puis à Besson, en vain et enfin à Noz. Je dépense mes sous dans des conneries et termine mon périple à Auchan. Je suis déçue de ne pas trouver mes boissons, peut être qu’ils n’en font plus. J’achète deux bouquets de tulipes et rentre à la maison.
Anaïs n’est pas là et je reste avec ma mère. Je lui montre mes photos rapidement, elle trouve que je discute pas trop, normal, je n’ai rien à dire. Geo m’appelle, il avait zappé qu’il devait aller au Casino après son repas, il s’excuse de me planter mais on arrive finalement à un compromis : on mange ensemble lundi soir !
Du coup, bah, pas envie de bouger, je vais aller mater la fin de mon film, toute seule comme une grande… Tu parles ! J’ai regardé Poltergeist de Spielberg et j’ai tout vu… Sauf le passage avec le clown en porcelaine, je sais, je suis une froussarde !
J’ai froid, il fait toujours froid ici et je vais devoir me motiver pour ma douche.
Ha oui, Salim est venu me voir et m’a dit (en français, parce que bonjour son orthographe et sa syntaxe) : c’est toi qui a commencé à mal me parler. Un comble, je lui réplique que je lui ai simplement dit que j’avais promis d’acheter Lionel. Passons. Il me dit que je peux me rattraper en adhérant à son groupe et en invitant des gens. Why not… J’accepte et invite quelques personnes, pour la forme, on va pas chipoter.
J’ai pas mal discuté avec Ren aussi, il aurait bien voulu que je vienne ce soir. Il attend avec impatience que je sois de nouveau célibataire et ne s’en cache pas. Je ne lui cache pas que oui, je suis intéressée mais que pour le moment, je suis en couple et qu’il n’y a pas moyen, qu’il soit beau gosse ou quoi que ce soit d’autre. Quoi qu’en y réfléchissant je suis peut être célibataire sans le savoir. On verra bien si dans 13 jours, je monte toujours à Paris. On verra si je ne l’appelle pas, si lui me contacte. Je ne poserais pas de question, rien du tout, pas avant Paris. Je ne veux pas qu’il se dise que je suis une fille collante. J’espère juste qu’il n’attend pas de moi que je les pose. Sinon, on est mal.
Youhou, et une ola pour la clubbeuse qui va se coucher avant minuit un samedi soir...
Par Danaé
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Vendredi 10 avril 5 10 /04 /Avr 22:12

Je dors mal. J’ai une montée de fièvre et la nausée. Je croise les doigts, espérant que mon corps ne va pas me lâcher. Je ne vais pas tenter de dire « déjà », parce qu’avec ce que je me fais subir depuis des mois, j’ai de la chance de ne pas avoir encore craqué.

J’allume mon ordi au levé, le ventre noué. Les gamineries de Salim, plus le fait de devoir aller chercher mes tests me travaillent. Je file au labo et l’on me donne sans sourciller l’enveloppe. Suspens… Tout est négatif, tout va bien. Sauf le cholestérol, mais ça, je m’en moque un petit peu. J’attends des explications, mais de toute évidence, la femme n’est là que pour remettre les enveloppes. Je pars donc, on verra bien le médecin dans un an.

J’ai mal au ventre, très mal, à me demander si je n’ai pas l’appendicite. Je me rappelle que je vais avoir mes règles ce week-end, mais à ce point. Quoi qu’en cumulant tout…

Petite sieste une fois chez moi, je tente de joindre Philippe juste avant, mais je tombe sur le répondeur. C’est ma sœur qui me réveille et me confirme que l’on va voir la grand mère dimanche.

Après midi de fou, je reste jusqu’à 19h30 et pars en laissant des dossiers bien pourris, mais 4 pages d’explications. Et puis zut. Corinne va sans doute pêter un câble mardi. Je ne peux pas faire d’avantage de toute façon.

Je me traîne chez moi, et finalement passe sous la douche avant de manger, je me sens sale. Du coup, pas de sport, j’en profite pour mettre à jour mon blog (quoi ? une bonne résolution sur deux^^). Claire veut donc sortir, Voiles, puis Monte Christo. Mais moi, j’ai envie de mettre le nez dehors, mais pas de sortir. J’ai pas envie de remuer pour le moment. On va y aller à deux voitures et je pense que je vais terminer au laser game avec Fabrice pour papoter.

J’essaie à nouveau Philippe et finalement c’est lui qui me rappelle. Il est allé finalement sur Lyon et est au bar avec des potes. On discute un peu, mais une fois de plus, il n’a pas trop le temps. Je pense que je le dérange franchement. Je ne sais pas comment faire avec lui. Faisons la liste des soucis : je ne sais pas comment il me perçoit, je ne sais pas ce qu’il veut, j’ignorer s’il a passé un bon moment avec moi ou s’il attend avec impatience que le week-end à Paris passe pour se débarrasser de moi. Oui, je sais, cela revient un peu au même. De mon côté : comment dois-je me comporter ? Est-ce que je lâche le téléphone et le laisse venir vers moi sans m’inquiéter ? C’est pas facile, parce que avant, il était chez lui et on se parlait un jour sur deux, voire tous les jours, là non. Et puis quel genre je dois faire ? Arf, même moi je m’y perds. Bon, je vais le laisser téléphoner cette fois. On verra bien quand cela tombera.

J’ai finit de me préparer, je discute vite fait avec Ren. Mine de rien, il se renseigne pour savoir si j’ai toujours mon « copain de Paris ». Bon, on va arrêter là, je suis congelée, et je dois encore mettre mes chaussures. Trop dur.

 

Par Danaé
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Vendredi 10 avril 5 10 /04 /Avr 20:49

Je n’ose penser à ma journée, je sais que je vais prendre mes congés, plus soulagée qu’autre chose finalement d’être absente durant cette merde noire qui se profile à l’horizon.

Petit passage chez Jen qui réussit à me faire couler une larme, alors que l’ont parle des résultats de mes tests. Elle me dit de ne pas m’inquiéter et d’aller les chercher plutôt demain matin, avant d’aller bosser, comme ça, ce sera fait. En toute franchise, je commence à flipper un peu, me demandant ce que je pourrais faire s’ils étaient positifs. Je ne me crois pas assez forte pour vivre avec cette différence là. Non, je suis trop fragile, je ne pourrais pas supporter… Je promets et je sais que j’irais les chercher demain matin, et on en parle plus, à la manière du sparadrap.

Grosse journée, Geneu me propose de manger avec elle mais je préfère rentrer. Je pars tard, non sans avoir doucement rigolé quand une fois de plus JC me téléphone et me demande quand on se voit. Croit il vraiment que : 1- je suis intéressée, 2- que je pourrais sortir avec l’ex de l’une de mes meilleurs amies ?

Je rentre et passe vite fait sur Facebook. Salim vient me parler et me demande de l’acheter dans « amis à vendre », je refuse poliment, lui disant que j’ai promis en premier à Lionel de l’acheter. Il le prend mal et je suis un peu choquée. Mais bon, je suis déjà à la bourre et préfère ne pas trop traîner la dessus. J’arrive chez Lionel, il y a Lola et Chloé. La soirée est agréable et me fait du bien, je ne suis pas loin de pêter un câble en fin de compte.

Chloé part et nous nous retrouvons à regarder « L’orphelinat ». La misère ces vilain petits enfants morts qui viennent hanter les vivants ! Je flippe pas mal, mais ne suis pas la seule, Lola n’apprécie guère également. Sauf qu’elle ne va pas dormir seule ce soir.

Nous partons en même temps et je fais un crochet au Voiles, j’aimerai voir Seb. Il n’y est pas, il n’y a pas grand monde et je sais déjà que je ne vais pas traîner. Je discute deux secondes avec Seb DJ et vois Salim de loin, pas envie de le saluer, ça tombe bien qu’il n’approche pas.

Je rentre et préfère ne pas prendre d’essence, y avait un gars bizarre. Je vais le regretter demain.

Arrivée sur mon ordi, je tombe de mon fauteuil, Salim a mit dans son statut que je ne servait à rien. Tellement puéril et disproportionnée comme réaction. J’en téléphone à Lionel, ahurie. Je laisse un petit mot, histoire de marquer quand même un bout du pourquoi et du comment et vais me coucher après une douche.

 

Par Danaé
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Mercredi 8 avril 3 08 /04 /Avr 23:13

Une journée de commencé et elle commence par du jeun en vue d’une prise de sang. Je suis fatiguée, parce que j’ai mal dormi, j’ai parlé, comme si j’avais des gens dans ma chambre qui me regardaient et m’empêchaient de dormir car cela me gêne. Je n'aime pas quand c’est comme ça, quand je vois des gens dans ma chambre, qui sont là pendant que je dors. C'est bête, mais j'aime dormir seule. Ou avec des gens que je choisis. Cela devient récurant en plus, je trouve.

Direction le labo de Bourg. Je ne suis pas motivée pour aller là-bas et en plus c’est plein. Demi-tour donc, je vais tenter celui de Pierrelatte. Il y a du monde, mais moins et je m’y sens mieux. Je passe rapidement et la femme me prend 5 échantillons. Ce n’est pas le cholestérol qui nécessite autant, mais la seconde ordonnance. Celle du VIH. Gentil petit souvenir de ma courte et très décevante nuit avec Cédric. Apres avoir bavé un mois après lui, on est sorti ensemble, il m’a vendu du rêve, on a couché ensemble et vlam, bonjour les capotes bon marché. Et Cedric étant une personne tout sauf fiable, un test s’impose. Je dois aller chercher les résultats demain soir, mais je n’ai pas trop envie, je ne m’inquiète pas encore mais presque. Et demain, je ne pense pas être à temps dehors.

J’arrive au taf, discute rapidement avec Jen et déjeune. Je passe sur les tracas de la journée, sur le sur bookage et le fait d’envisager de faire sauter un jour ou deux de vacances. Je ne saurais même pas où les reposer de toute façon, et j’ai prévu des trucs toute la semaine.

Je n’ai pas de nouvelles de Philippe, j’essaie de lui téléphoner entre midi et deux mais sans succès, il m’envoie un petit sms pour me dire qu’il est à la course et je lui réponds en proposant de lui téléphoner le soir.

Après midi standard. Claire va avoir du souci à se faire en rentrant, mais pour le moment, je ne lui dit rien, qu’elle profite de ses vacances au max.

Je reste après afin de me faire un planning. Le temps passe vite, il est déjà 19h50 passé et je n’ai pas fait d’achat. J’en préparer deux, vite fait et part vers 20h10.

Pas motivée, je mets une lessive en route, essaie de téléphoner à Philippe et attaque le sport.

Je fais assez facilement mes 10 minutes de step et enquille sur mes 10 minutes de mouvements. Je suis sur le point de finir quand mon msn bipe. C’est Philippe qui n’avait pas vu que son téléphone était éteint. Bisous rapides, il repart aussitôt pour faire un poker, je le verrais plus tard sans doute.

Je suis sur le point de commencer à manger quand Claire vient me parler. Cedric M (pas le même que le mien^^) est vraiment un boulet de base. Il lui parle encore une fois de Laurie, plus abrutis, tu meures je pense. Claire n’arrive pas à se détacher de Cédric, mais je peux difficilement lui lancer la pierre, vu la difficulté que j’ai pu avoir à me détacher de mon plan cul. Parce que nous ne sommes pas fabriquées d’origine pour faire ça je pense nous les filles. On a du mal à tout séparer et quand on y arrive, cela nous mène à quoi ? A faire tout et n’importe quoi et rechercher désespérément derrière quelqu’un à qui s’attacher.

Je ne voulais plus de mec dans ma vie quand Guillaume est entré dans la mienne, mais il s’est montré gentil, simplement, il m’a respecté et n’a pas tenté de faire quoi que ce soit. Et je m’y suis jetée la tête première. Je ne regrette pas et j’espère sincèrement lui avoir apporté quelque chose qui pourra lui servir. Léger regret, soyons honnête, les gâtés avec Guillaume sont désormais officiellement terminés. Non pas parce qu’il se passait quelque chose, justement, hormis la dernière fois où nous avons presque couché ensemble, mais fois pour laquelle, de mon point de vue, nous avons fait l’amour, il ne se passe rien, à par cet échange de tendresse. Mais comme cela signifie plus pour moi, que jamais cela me semblera être un contact fraternel, même si cela me manque quelque part, cela ne se reproduira pas. Parce que les gâtés, je les veux avec un autre. Qui compterai d’autant plus avec un peu de chance. A voir

 

Par Danaé
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