the-real-life-of-danae

Me revoilà… Je sais, cela fait très longtemps, mais le temps passe vite. Banalité, je sais… Et je me répète en plus, que des défauts !

J’avais pensé revenir plusieurs fois, puis le manque de motivation, plus que le manque de temps, je pense, m’a fait repousser la chose. Je ne vais pas faire un résumé, nous ne nous en sortirions pas, mais au besoin, je ferais quelques flash back^^.

Nouveau départ, nouvelles motivations !

Déjà, GT, c’est finit. Les filles avaient décidé de me supprimer mes droits, vu que je ne m’en servais pas. J’ai moyennement apprécié et donc, après en avoir parlé avec Leti, on a récupéré les codes et décidé de bloqué le fofo. Je vous laisse imaginer la pluie d’insulte… Surtout venant d’Hélène, mon ancienne amie… Oui, on ne se parle plus depuis des mois, mais là, je n’ai pas envie d’y revenir dessus. En bref, je leur ai laissé le fofo en demandant à ce qu’il retirent mon CSS et puis finalement, je me suis dit, à raison, que mon fofo ne serait jamais aussi beau qu’il ne l’était avec mes créa… A raison, parce qu’elles l’ont changé finalement et que c’est vraiment moche…

Donc, plus de fofo, beaucoup de Facebook, on remplace une perte de temps par une autre.

Bonne résolutions donc, je disais, puisque que je vais reprendre mon blog et… Roulement de tambour, j’ai fait 10 minutes de stepper + 10-12 minutes d’exercices. On va essayer de s’y tenir un jour sur deux, mais je n’y crois pas trop. Mais on va tenter…

Quoi de neuf sinon ? Mon week end !

J’ai rencontré lors de la St Patrick, le frère de Lola. Au début, je faisais la folle, puis je l'ai trouvé de plus en plus intéressant et on a passé la soirée à parler. Un mms, une invitation Facebook et des concerts msn de guitare plus tard, et je prends des billets pour aller le voir à Paris à la fin du mois prochain. Trop loin, alors il décide de venir me voir et là… Je reste encore dans mes rêveries.

Un bon week end, où j’ai découvert quelqu’un d’intéressant, de drôle, avec de la culture et du répondant, un mec dont j’ai envie de prendre soin et à qui j’aurais envie de donner ma confiance. Je ne veux pas brûler les étapes, mais je crois que je suis là, à un tournant de ma vie et que peut être Philippe sera ce qui pourra me faire changer. Ou je vais me manger lamentablement. Possible, mais j’en ai aussi marre de me cacher, de courir après les tocards, de m’attacher à des garçons qui ne peuvent rien m’offrir pour tout un tas de raison. Juste par facilité, par peur aussi. C’est risqué, ultra risqué, mais j’en ai envie. J’ai envie de regarder à nouveau devant moi, d’arrêter de faire style que là où je me trouve me convient.

Quoi qu’il en soit, il me faut encore attendre, laisser venir, parce que même si je n’ai que de bons échos et que de très bonnes impressions sur Philippe, je ne suis pas dans sa tête et il m’est impossible de savoir ce que lui a pu ressentir, ce qu’il en pense, ce qu’il veut ou recherche vraiment. J’ai une tonne de choses à raconter sur ce week-end, sur comment je me sens là de suite, mais on va commencer doucement, au jour le jour… D’ici peu, ce sera plus facile, mais là, tant de choses à dire et si peu de courage. Ne le gaspillons pas de si tôt !

Ha oui, nouvelle résolution, je vais essayer de recommencer à écrire un peu, des One shot, ça me manque je dois l’avouer !

Réveil en douceur, je ne préfère pas trop traîner, j’ai une journée qui devrait être chargée. Mais pas de soirée de prévue.

Je téléphone à Jennifer pour savoir si je viens toujours chez elle, elle est ok, juste qu’elle sera un peu en retard. Il pleut des cordes, cela ne donne pas bien envie. Je décide de m’attaquer à ma chasse d’eau mais déchante très vite quand je constate qu’il faut que je démonte tout, même le socle… On verra une autre fois…

Je n’ai toujours pas de net, je me contente de regarder la 6.

Je vais enfin chez Jennifer et commence à poncer mon touret. Je m’applique, Morgane m'a demandé de faire ça bien. Ca va être difficile, je ne suis pas du genre à être appliquée, surtout dans des travaux manuels. Mais je viens à bout du ponçage et je commence à passer la première couche.

J’ai presque finit quand mon téléphone sonne, c’est un sms de Loïc qui me demande qu’ils peuvent venir prendre l’apéro chez moi. Je réponds que oui, mais quand il dit maintenant, je l’appelle pour lui dire que ça va être pas possible vu que je ne suis pas chez moi. Je leur donne rendez-vous à 18h30, cela me laisse très peu de temps, mais c’est faisable.

Je termine en quatrième vitesse et j’ai même Yann au téléphone alors que je fais les derniers coups de pinceaux. Amandine est en vacances, il ne fait rien ce soir et me propose donc une soirée. Je dois refuser, de toute façon, je ne sais pas si j'aurai dit oui, je n’aime pas vraiment le fait qu’il n’appelle que quand Amandine n’est pas là. Il m’apprend en plus qu’il a décide de vraiment vivre avec elle et de prendre un autre appartement ! La totale ! J’abrége, je n’ai pas le temps.

Je pars comme une voleuse et rentre chez moi pour sauter sous ma douche. Pas de bol, malgré mes gants, j'ai pourri mes ongles. Et je n’ai pas le temps de les refaire. Je galère donc bien.

Le temps passe, pas de nouvelle, j’appelle Loïc, il me dit qu’ils sont à Carrefour et qu’ils arrivent. Ils ne seront là qu’à 20 heures.

Ils ont emmené une bouteille de rhum et ont déjà mangé, tant pis pour moi !

C’est très compliqué de suivre Loïc quand il a la forme, il fait beaucoup de bruit, gesticule, rigole. C’est sympa mais je ne me sens pas vraiment à l’aise, car pas vraiment dans leur délire. L’alcool m’aide à me détendre. On boit pas mal et pour ce qui est de la suite, il s’agit d’un mélange entre mes quelques souvenirs jour et ceux qui me sont revenus le lendemain

Claire : elle voulait sortir, mais je l'ai prévenue trop tard et elle a préféré ne pas bouger. Je lui ai téléphoné de chez moi, allongée sur mon lit, dans le noir, complètement ivre

Le trajet : Loïc ayant une voiture de société, je prends également ma voiture pour bouger. Je ne sais pas comment j'ai réussit à ne pas me planter, je sais pourquoi je ne conduits jamais ivre, parce que c’est la misère, partage d’euphorie et de froncement de sourcils pour arriver à ne pas décrocher.

Les Voiles : je ne me rappelle de pas grand-chose, si ce n’ai que j’ai gavé Ben le portier et la fille des entrées. Qui j’ai vu, à quelle heure nous sommes arrivés et à qui j’ai parlé… Même si j’ai bu là-bas, je n’en ai aucune idée, c’est le trou noir. Je me rappelle maintenant quand nous avons changé de voiture, j’ai laissé la mienne aux Voiles et j’ai grimpé sur des genoux le temps d’aller chercher l’autre voiture, celle de Cédric

L’Agora : il me semblait être bien mieux une fois là-bas, mais pas totalement, je ne me rappelle pas non plus de tout. Je suis tombée sur Mike et lui ai dit que j’étais venue finalement, il me dit qu’il le sait, vu que l’on s’est croisé aux Voiles… Pfff. Il y a aussi Charlene, avec Corinne, sympa qu’elle m’appelle pour me proposer de venir… Je passe la soirée avec Cédric, Loïc drague une brune. Cédric est adorable et c’est bien sympa. Il me fait danser alors que je suis une cata à deux. Je sais que j'ai failli tomber plus d’une fois, mais il me rattrape chaque fois. On se fait prendre en photo, je ne me rappelle pas de la photo à 3 mais de celles avec Cédric oui. Enfin pas de celles-là… Bizarre… En tout cas, une fois à jeun, je nous trouve très beaux tous les deux.

Cédric : je passe du bon temps avec lui et il m’embrasse à un moment, deux fois même je pense. A chaque fois, je m’esquive, mais j’apprécie toutefois, je me rappelle que c’était agréable, doux et chaud. Mais je ne suis pas en état de sortir avec qui que ce soit, de toute façon, je n’aime pas trop me montrer comme ça quand je suis en soirée avec des gens que je connais. Je ne peux pas flirter avec des mecs différents à chaque fois, non ?

Le retour : nous décollons, je suis gelée, mon blouson est dans ma voiture. Pas de bol, nous nous faisons arrêté par les flics et Cédric doit souffler. Forcement, il n’est pas bon. Au final, nous allons rester plus d’une heure et demi là-bas, à attendre que nos taux redescendent pour pouvoir rentrer. Cédric a sans doute perdu son permis, il ne lui restait pas beaucoup de points. Finalement, c’est Loïc qui nous ramènera.

Petit arrêt à la boulangerie, puis à ma voiture pour prendre mes clés et nous rentrons chez moi. L’ambiance n’est plus là. Arrivés chez moi, Cédric se couche direct sur le canapé et Loïc va dans mon lit, entre les couverture et la couette. Je me change, donne un duvet à Cédric et vais me coucher à mon tour. Il est 6 heures du matin et j’ai mal au crâne…