the-real-life-of-danae

Cauchemars cette nuit... Geneu me reprochait la bonne ambiance du bureau, comme quoi, c'était mieux avant comme avec Corinne quand on s'engueulait souvent... Sympa...

La matinée est agréable, l'ambiance est très bonne et je me sens bien dans ma tête. J'ai perdu deux kilos... J'ai honte, mais cela me plait... Et puis... A partir de 11 heures, j'ai faim. Mais vraiment faim ! Tant mieux, la machine se remet en marche. Je rentre vite à midi, je ne tiens plus... Un steak et des haricots... Cela fait du bien, même si cela reste assez léger dans la mesure où j'ai loupé tant de repas ces derniers temps.
L'après midi est encore meilleur et nous avons droit à un super fou rire. Jennifer m'a proposé hier de l’accompagner à un repas avec un pote à elle dans la semaine, mais attention, ce n'est pas un rencard... Enfin, cela peut découler sur un, on ne sait jamais !
Jean-Max me lance un défi, alors que je réclame à grand cris et pleurs un gâté que les filles me refusent. Me filmer avec la pancarte que j'ai fait "free Hugs". Je dis "chiche" et attend avec impatience la fin de la journée.
Bon sang, j'ai vraiment envie d'un gâté...  Par gâté, j'entends serrage très fort dans els bras, avec en option un frottage de dos... parce qu'apparemment, le vocabulaire n'est pas le même pour tous... Bref, j'en ai très envie... Je pense à un moment à Yan, il me refuse jamais des gâtés. Mais s'il y a Amandine, elle risque de tirer la tronche... Julien ? Je ne vois pas quand je pourrais le voir et je préfère rester dans le silence radio jusqu'à jeudi. Donc... Personne. Bon sang !
Arrive la fin de journée, nous faisons une petite prise avec mon portable. C'est pourri, mais marrant.
Je fais quelques courses et je rentre. Morgane me téléphone et nous papotons. Puis, vaisselle et je traîne un peu sur le net, mais rapidement. Je suis naze. Bien... On tape dans le positif !
Je mange (light : jambon, pain, fromage et riz au lait) et me cale devant Life on Mars.
Cela vient de finir, je termine mon billet et je file sous la douche. Je ne serais jamais dans mon lit à 23 heures, mais je m'en contenterais.