Je n’ai pas les yeux en face des trous, au moins les 5 premières minutes, mais je ne peux en vouloir qu'à moi même. Je reprends vite le dessus et je sais déjà que je peux tenir plusieurs semaines
à se rythme. J’ai déjà fait cette grève du sommeil et de la faim et je sais que j'ai les réserves pour tenir. Ces vacances m'ont fait vraiment le plus grand bien.
Nouvelle journée, on attaque direct par une alerte incendie, cool, j'ai de petits yeux et la lumière est vive.
Le midi, j'ai plus d'appétit que la veille et l'avant veille, je finis enfin ma pizza et je m'assoupie devant Friends. Je me réveille à temps et ici, c'est la fin du monde. J’arrive à la voiture
les pieds trempés et une fois à la base, il ne pleut plus. Le bon coté, ma voiture est propre.
Je papote avec Manuel de Skyblog, celui qui est de Bourg et qui a la gentillesse de lire tous mes articles. Il est sympa, papa d'un petit Simon de 3 ans. On se verra sans doute samedi après midi,
il ne connaît pas le parc. On verra comment moi je le sens.
Je rentre, pas motivée, j'ai une pensée pour Yan, est ce que je lui manque un peu ? Je ne lui téléphonerais pas avant lundi prochain, la veille de son opération et j'irais le voir le lendemain,
sauf interdiction express de sa part. Encore que...
J'attaque le discours d'Albus et je suis un peu sèche avec Hélène, ce qui n'est pas voulu. Je lui dis vraiment de faire comme elle veut, je n'y mets pas les formes et elle se sent agressée. J’ai
tort, je le sais et je sais qu'elle n'a pas besoin de ça.
Je décide d'ajouter Mélina et Alois sur mon msn. Sans succès pour le moment. Puis je croise Aloïs sur Facebook et on commence à parler par le site. C’est la misère, mais vachement sympa. Il bosse
dans une boite de jeux vidéo au Péage, il est seul, avec un chien. Le feeling passe très vite, on s'entendait bien... en 6éme ! Ca fait un baille ! Finalement on atterrit sur msn et c'est plus
facile pour parler, vu que cela ne saute pas sans arrêt. Encore que le tonnerre se fait pas mal entendre et l'électricité me fait songer à tout éteindre. On se programme une soirée retrouvaille
et on en est même à prévoir les fringues et tout. J’adore !
Le téléphone sonne, c'est Yan, je suis assez surprise et impatiente. Il veut de mes nouvelles, cela le gave de ne pas en avoir. Je lui manque. Rien ne change avec Amandine, pas d'amélioration,
avec ou sans moi. Il me semble qu'il en a de plus en plus marre, mais c'est à lui de prendre les choses en mains. Il craint que s'il la vire, elle refasse quand on était ensemble, qu'elle le
redrague et repromette. Sauf que s'il a plus de mémoire qu'un petit pois, il ne devrait pas se laisser avoir. Il flippe pas mal pour son opération, je lui propose de dormir sur le canapé et de le
surveiller la première nuit s'il veut, mais bon, ce n’est pas à moi de le faire, on va friser l'incident diplomatique là. On verra d'ici à mardi.
Je retourne parler avec Aloïs, il est 23h26, je n'ai pas mangé, je ne me suis pas douchée et je sens que je ne suis pas couchée... Mais j'adore ! On délire vraiment bien !
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