Le blog de Danaé
Ma mère me lève pour me dire que mon chat est malade, il vomit sans cesse et bouge à peine. Je me lève et téléphone au véto, elle peut me prendre à 11 heures. Il est vrai que mon chat va mal, il a
carrément de la mousse aux lèvres et pleure, sans se bouger, il est couché et remue à peine.
La véto me dit qu'il a un calcul et qu'il est presque dans le coma, que sa vessie est énorme et que là faut s'en occuper de suite. La facture va être salée, on part sur du 250 euros, mais j'accepte. Je ne me vois pas faire autrement. Cela me fait râler quand j'y pense, parce que quand je l'avais amené à l'autre véto pour ses souci de pipi sur le canapé, il avait dit que c'était le stress, on aurait pu le soigner à ce moment là.
Je rentre chez moi, pas envie de rester plus, ma mère pourra le récupérer et Aurélien descendra sûrement dans la semaine, donc c'est bon.
Cela fait du bien d'être enfin à la maison. Je dois faire quelques course et j'essaie de joindre Yan, il avait promis de me payer à manger le soir. pas de nouvelle, je me fais une raison.
Le téléphone sonne, c'est la véto qui m'annonce que cela fait plus de deux heures qu'elle essaie de "déboucher" mon chat sans succès, il faudrait l'amener dans une autre clinique, afin de pratiquer l'ablation du pénis. Sauf que là, la facture grimpe à 500 euros.
Je suis déchirée, mais il est hors de question que je paie cette somme. Déjà, je ne l'ai pas. Ensuite, ce n'est qu'un animal. Comment je fais moi si la semaine prochaine je tombe en panne de voiture et que j'ai pas de rond pour payer ? Je lui demande donc de faire ce qu'il faut et d'abréger ses souffrances. Ma mère ne s'en remet pas, c'est presque plus dur pour elle que pour moi. me montrer froide et distante tout le temps a finalement des bons coté, je pleure au tel, mais après cela se calme vite. Morgane est à 100% derrière moi et comprend tout à fait. Pfff, c'est la misère... Je tente l'humour avec ma mere, comme quoi chaque année, partir en vacances avec elle me coute un animal (cf Cooper le hamster, mort le lendemain de notre retour) mais elle n'est pas en état d'apprécier.
Je me force à aller faire les courses, pas le choix, le frigo est vide. je pense qu'aucun chagrin ne peux venir à bout d'une pizza maison et de cookies. Alors je prends le nécessaire et opte pour les smarties en guise de pépites de chocolat.
je me traine chez moi et Yan me tel enfin. cela tient toujours pour le soir et mon programme lui convient, il achètera à boire. je lui tel plus tard pour lui demander si je peux dormir chez lui si on picole, il est réticent mais accepte. Apparemment, cela va mal avec Amandine, mais n'a pas voulu en parler au téléphone.
Je me pointe chez lui, il est en retard. Puis finalement, on commence par bavarder, j'ai le droit à des gâtés et à pleurer dans son coup. je préfère pas trop me lâcher, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver si les vannes étaient vraiment ouvertes. je cumule tellement et depuis si longtemps que cela me fait peur.
Il a rompu avec Amandine, ou plutôt elle l'a jeté vendredi, nouvelle crise de jalousie à mon encontre. Il me dit qu'il va la laisser maronner un jour ou deux et retourner la voir... Sans commentaire
Puis on attaque la cuisine et l'apéro. Ce soir, c'est Rhum ! Un peu dur au début, mais à force, cela passe mieux.
Nous sommes vite ivre et le reste de la soirée est un peu confus. Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés à nous embrasser. Je sais qu'on a baladé et regardé le rocher. Je sais que je lui ai dit que même si j'avais bu, moi, je savais ce que je faisais et que j'abusais de lui. Il s'est vexé, il sait ce qu'il fait, me dit il...
Nous rentrons et nouveau trou, nous sommes allongé et nous regardons je ne sais pas quoi à la télé, puis on s'embrasse, puis....
Je suis déchaînée, sans blague, je me sens en pleine forme et il profite de mes petites attentions... Je pourrais presque avoir honte de moi d'avoir été si... Chaude, oui, c'est le mot... Je l'ai griffé, mordu, cajolé avec ma bouche... Seul bémol... Enfin deux, déjà, j'ai saigné, pourtant, il me semblait qu'on y était allé doucement et le second... Toujours le même souci, mais ce n'est pas de ma faute me dit il... J'y crois pas trop. On se couche à 4h30, je tombe comme une masse contre son épaule.
La véto me dit qu'il a un calcul et qu'il est presque dans le coma, que sa vessie est énorme et que là faut s'en occuper de suite. La facture va être salée, on part sur du 250 euros, mais j'accepte. Je ne me vois pas faire autrement. Cela me fait râler quand j'y pense, parce que quand je l'avais amené à l'autre véto pour ses souci de pipi sur le canapé, il avait dit que c'était le stress, on aurait pu le soigner à ce moment là.
Je rentre chez moi, pas envie de rester plus, ma mère pourra le récupérer et Aurélien descendra sûrement dans la semaine, donc c'est bon.
Cela fait du bien d'être enfin à la maison. Je dois faire quelques course et j'essaie de joindre Yan, il avait promis de me payer à manger le soir. pas de nouvelle, je me fais une raison.
Le téléphone sonne, c'est la véto qui m'annonce que cela fait plus de deux heures qu'elle essaie de "déboucher" mon chat sans succès, il faudrait l'amener dans une autre clinique, afin de pratiquer l'ablation du pénis. Sauf que là, la facture grimpe à 500 euros.
Je suis déchirée, mais il est hors de question que je paie cette somme. Déjà, je ne l'ai pas. Ensuite, ce n'est qu'un animal. Comment je fais moi si la semaine prochaine je tombe en panne de voiture et que j'ai pas de rond pour payer ? Je lui demande donc de faire ce qu'il faut et d'abréger ses souffrances. Ma mère ne s'en remet pas, c'est presque plus dur pour elle que pour moi. me montrer froide et distante tout le temps a finalement des bons coté, je pleure au tel, mais après cela se calme vite. Morgane est à 100% derrière moi et comprend tout à fait. Pfff, c'est la misère... Je tente l'humour avec ma mere, comme quoi chaque année, partir en vacances avec elle me coute un animal (cf Cooper le hamster, mort le lendemain de notre retour) mais elle n'est pas en état d'apprécier.
Je me force à aller faire les courses, pas le choix, le frigo est vide. je pense qu'aucun chagrin ne peux venir à bout d'une pizza maison et de cookies. Alors je prends le nécessaire et opte pour les smarties en guise de pépites de chocolat.
je me traine chez moi et Yan me tel enfin. cela tient toujours pour le soir et mon programme lui convient, il achètera à boire. je lui tel plus tard pour lui demander si je peux dormir chez lui si on picole, il est réticent mais accepte. Apparemment, cela va mal avec Amandine, mais n'a pas voulu en parler au téléphone.
Je me pointe chez lui, il est en retard. Puis finalement, on commence par bavarder, j'ai le droit à des gâtés et à pleurer dans son coup. je préfère pas trop me lâcher, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver si les vannes étaient vraiment ouvertes. je cumule tellement et depuis si longtemps que cela me fait peur.
Il a rompu avec Amandine, ou plutôt elle l'a jeté vendredi, nouvelle crise de jalousie à mon encontre. Il me dit qu'il va la laisser maronner un jour ou deux et retourner la voir... Sans commentaire
Puis on attaque la cuisine et l'apéro. Ce soir, c'est Rhum ! Un peu dur au début, mais à force, cela passe mieux.
Nous sommes vite ivre et le reste de la soirée est un peu confus. Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés à nous embrasser. Je sais qu'on a baladé et regardé le rocher. Je sais que je lui ai dit que même si j'avais bu, moi, je savais ce que je faisais et que j'abusais de lui. Il s'est vexé, il sait ce qu'il fait, me dit il...
Nous rentrons et nouveau trou, nous sommes allongé et nous regardons je ne sais pas quoi à la télé, puis on s'embrasse, puis....
Je suis déchaînée, sans blague, je me sens en pleine forme et il profite de mes petites attentions... Je pourrais presque avoir honte de moi d'avoir été si... Chaude, oui, c'est le mot... Je l'ai griffé, mordu, cajolé avec ma bouche... Seul bémol... Enfin deux, déjà, j'ai saigné, pourtant, il me semblait qu'on y était allé doucement et le second... Toujours le même souci, mais ce n'est pas de ma faute me dit il... J'y crois pas trop. On se couche à 4h30, je tombe comme une masse contre son épaule.

Mer 27 aoû 2008
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